Il y a toujours un banc…
Il y avait celui du Parc Montsouris où je m’étais posée pour écouter les enfants. J’avais sorti mon carnet et noté quelques phrases qui, tout naturellement, avaient trouvé leur place au cœur de mon roman. Il y en avait mille à Rome, aux abords des fontaines sur les places brûlantes où les statues de bronze confiaient leur secrets à quelque personnage. A Florence il y avait celui des Jardins Boboli. Je m’y étais arrêtée pour écouter le bruit des millions d’insectes qui semblaient me dicter de nouveaux paragraphes. Et puis il y avait celui de Perahori. A la sortie du village, là où la route se change en sentier rocailleux, celui de mon Rocher, de mon île lointaine ! Celui là m’a dicté les plus jolis poèmes.
Il y a toujours un banc qui m’attend quelque part. Toujours au bon moment. On dit que c’est le hasard…
janvier 21st, 2013 à 14 h 33 min
Il y aura des extraits de ces « plus jolis poèmes »…
recueil « Banc public »…
janvier 21st, 2013 à 17 h 51 min
N’y a-t-il pas des bancs dans les parcs londoniens?
mars 4th, 2013 à 12 h 50 min
Lisez donc ceci: http://lyonnelgroulez.over-blog.com/article-mon-banc-115518505.html
Ah, les bancs. Bancs publics.